Premier témoignage : Patrice
18 années de combat intérieur, de galère, de copains… et en même temps, des petites graines semées par Dieu dans ma vie, jusqu’au jour où Dieu a entendu m’a prière :
“Dieu, si tu existes, change moi !” J’étais rentré dans une église moi qui avait été élevé dans un parti où Dieu n’avait pas sa place !
J’ai compris que sans Dieu, je ne pourrais pas y arriver et Dieu a accompli ce changement en moi ! Un miracle ! J’ai appris après, que c’était aussi 18 années de prières des parents de Babou. Ne nous lassons pas de prier.
Un deuxième témoignage : Babou
Chez mes parents, Dieu m’était présenté comme un père fouettard, pourtant à 16 ans je me tournais vers Lui. Quelques années plus tard, je quittais la maison paternelle et ma liberté m’a conduit dans des chemins chaotiques et pour de longues années. En même temps, j’avais régulièrement des “clins d’oeil de Dieu” comme pour me dire “Je suis là”. Après la surprenante conversion de Patrice, j’ai beaucoup pleuré sur mon péché. Un jour Patrice m’a dit :
“Le Seigneur t’a tellement aimée, qu’il est venu me chercher moi qui blasphémait !”
Cette parole m’a touché, le Seigneur est bon, Il m’a fait connaître la grâce de Dieu.
Dieu s’est aussi servi d’un croyant qui m’a donné un exemple qui m’a fait comprendre la grâce de Dieu pour moi. C’est l’exemple de la pomme sur un arbre, on la saisie (en faisant le geste) et on se l’approprie, c’est pareil pour la grâce de Dieu !
“Je vais vous lire Esaïe 41 et 44 en remplaçant “Israël” par mon prénom Babou” :
Écoute, Babou, ma servante que j’ai choisi, toi que j’ai été chercher jusqu’au bout du monde, et que j’ai appelé des régions les plus lointaines ; toi, à qui j’ai dit : « Non, je ne t’ai pas rejeté, au contraire, je t’ai choisi ; ma servante, c’est toi. » (D’après Esaïe 41 v 8 à 10).
“Maintenant ton Créateur, lui qui t’a formé, Babou, le Seigneur te déclare : « N’aie pas peur, je t’ai libéré, je t’ai engagé personnellement, tu m’appartiens. Quand tu traverseras l’eau, je serai avec toi ; quand tu franchiras les fleuves, tu ne t’y noieras pas. Quand tu passeras à travers le feu, tu ne t’y brûleras pas, les flammes ne t’atteindront pas. Car moi, le Seigneur, je suis ton Dieu, moi, l’unique vrai Dieu, ton Dieu Babou, je suis ton Sauveur…C’est que tu as du prix à mes yeux Babou, tu comptes beaucoup pour moi et je t’aime.” (D’après Esaïe 43 v 1 à 4).
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Chant 1062 recueil JEM:
JEM1062. Montre-moi l’aurore